28/03 et 03/04 - Mobilisations dans la Drôme !

C'est le printemps, les luttes font leurs nids !

Rassemblement le 28 mars à 8h devant le Conseil départemental de la Drôme

Pour la santé en Drôme !

En ce début d’année, le Conseil Départemental de la Drôme a décidé unilatéralement de fermer ses 7 centres de santé sexuelle (CSS) et de diminuer les subventions au Planning familial et aux CSS des hôpitaux.

À l’heure où nous fêtons les 50 ans de la loi Veil et un an après l’inscription de l’IVG dans la constitution, nous ne comprenons pas une telle décision concernant des questions aussi importantes que la prévention, la lutte contre les violences et la santé sexuelle des Drômois·es.

Nous vous invitons à prendre connaissance de la pétition portée par le Planning familial et à la signer : Lien vers la pétition

Et à interpeler les élu.e.s drômois.e.s via ce lien.

«N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant.» Simone de Beauvoir

Journée de mobilisation le 3 avril

Pour les services publics

Après l’instauration d’un jour de carence, après le vol des congés (passage aux 1607 heures), après le vote de la loi honteuse sur la retraite à 64 ans, en passant par les mesures contre la Sécu, les soins de moins en moins remboursés… Le gouvernement décide de punir les agent·es malades !

Maintenant, au prétexte d’une économie de guerre, l’argent qui «n’existait pas» pour augmenter les salaires et le point d’indice des fonctionnaires, sort magiquement des caisses de l’État pour alimenter les 800 milliards d’euros pour financer l’industrie militaire. Le problème, c’est qu’on connait la musique ! Quelle que soit la situation c’est toujours aux mêmes qu’on demande de passer à la caisse : aux fonctionnaires, aux salarié·es, aux retraité·es !

Attaques sur nos rémunérations ! Depuis le 1er mars, les agent-es malades subissent une baisse de 10 % du taux de remplacement de la rémunération pendant les arrêts maladies, après le premier jour de carence (0 € de traitement).